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Le document du mois
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Enfin un nouveau document du mois !
Il était temps me direz vous. On est plus proche du document trimestriel que du document du mois...
C'est juste.
Mais il y a des raisons à cela. Banwarth on the ouaib pose les vraies questions. Et Banwarth on the ouaib se donne le temps et les moyens de fournir de véritables enquêtes, basées sur des travaux scientifiques de haut niveau, utilisant les techniques les plus sophistiquées.
Surtout, Banwarth on the ouaib ne cède devant aucune pression, politique, religieuse ou économique.
Ce mois-ci, nous avons osé affronté une des grandes interrogations qui hantent l'être humain à chaque fois qu'il lève les yeux et contemple le silence éternel des espaces infinis :
Mais qu'y a t-il dans la tête d'un joueur de bodhran ?
On a bien cherché, mais on a pas trouvé...
Y'a encore des progrès à faire dans le domaine des microscopes.
Mais nous ne restons jamais sur un échec !
L'interrogation était trop audacieuse.
Soit.
Toute l'équipe de Banwarth on the ouaib s'est alors jetée dans un défi insensé : terrasser le monstre par petit bouts.
Nous avons donc commencé par répondre à cette question plus humble :
Comment expliquer ce qu'il y a SUR la tête d'un joueur de bodhran ?
Maintenant, nous savons.
Et toi aussi, internaute, tu as droit à la vérité : VOIS !
Ce jaune tendre (tirant légèrement sur les teintes "drouille de nouveau né") qui orne le dessus d'un cheveux rare, n'est pas le fruit d'une dégénérescence génétique ou d'un trop long séjour à l'hôtel Ibis de Tchernobyl : c'est voulu ! C'est une teinture.
Notre sujet d'étude (appelons le Jean-Michel L. afin d'épargner sa famille) a même payé pour ça...
Mais contemplons encore l'étrange spectacle.
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Notez au passage le film plastique transparent sur la tête du sujet. Trop souillé par les mélanges chimiques qu'il subit pendant l'opération, il devient beaucoup trop risqué de l'enlever sans précautions.
C'est Jean Paul, responsable de la section "Joueurs de bodhran" du salon "Doudoune coiffure", qui a mis au point l'astucieuse solution dont voici le détail :
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On utilise un plastique thermo-retractile qui sera ensuite chauffé au moyen des lampes à infrarouges que l'on distingue à droite de la dernière photo.
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Le plastique se résorbe alors entièrement dans les cavités des oreilles, formant des bouboules qui peuvent parfois obstruer le conduit auditif.
La surdité totale qui en découle ne peut en aucun cas être considérée comme un handicap professionnel sérieux.
Le mois prochain, armés des 3 photos ci-dessous, nous nous poserons la question suivante :
Qu'est-ce qui fait avancer les informaticiens ?
Et en principe, la réponse devrait être : des petites roulettes.
Comme en témoigne cette photo, "Banwarth on the ouaib" travaille
depuis des années avec les laboratoires les plus sérieux.